Moona Whyte

Comment as-tu commencé le kite ?
J’ai grandi à Hawaï où tout le monde surfe depuis le plus jeune âge. Je savais surfer, mais ce n’était pas vraiment mon truc. Mon père m’a appris à faire du kite à l’âge de 14 ans et j’ai tout de suite accroché. J’allais à l’eau tous les jours après l’école et j’ai aussi appris à faire du shortboard un an plus tard. Depuis, j’adore être dans l’eau autant que possible et je suis très reconnaissante des opportunités que ce sport m’a offertes.

Que fais-tu avant d’aller à l’eau ?
Avant toute chose, j’aime faire du yoga. Mais si le surf est bon, il m’arrive d’aller directement à l’eau après mon réveil !

Raconte-nous ton meilleur souvenir de kite.
Ma meilleure session de kite a eu lieu l’année dernière sur un gros slab. J’ai pris le barrel le plus profond et le plus gros jusqu’à présent et j’ai réussi à en sortir. Je n’ai pas arrêté de sourire et de rire pendant tout le reste de la session. Et une des photos de ce jour-là s’est retrouvée en couverture !

Pire wipeout ?
J’ai eu beaucoup de mauvaises chutes, mais je m’en suis toujours bien sortie. J’ai eu un hold down de deux vagues une fois en surf, ce qui était plutôt effrayant, mon leash s’est enroulé autour de mes jambes sous l’eau en kite, et j’ai eu une commotion cérébrale en tombant en surf. Je ne veux pas qu’un incident de foil figure sur cette liste !

À qui voudrais-tu dire merci ?
Je voudrais remercier mes parents de m’avoir donné la meilleure vie possible dans l’un des plus beaux endroits du monde, de m’avoir donné une éducation et de m’avoir toujours soutenue.

Une phrase sur les produits que tu utilises.
La BANDIT-S est incroyable dans les vagues et je pense qu’elle va m’aider à bien progresser dans ce domaine.